huizilopotcha

Drosera huizilopotcha mysteriosae L. - Cette superbe fleur violette se cache dans la forêt vierge du Yucatan, où il semble qu’elle a pu survivre grâce au culte, qu’après qu’ils eurent défaits les Mayas, lui rendaient les Aztèques. Ceux-ci, comme énivrés de son puissant parfum, similaire à celui du guerrier en rut, lui offraient les morceaux les plus choisis des victimes de leurs sacrifices humains. On ne peut hélas douter qu’y succédèrent les expériences auxquelles les conquistadores se livrèrent aux dépens de leurs esclaves. Détestables comportements dont on dit que, malheureusement, ils se sont perpétués jusqu’à nos jours. Ainsi prétend-t-on que des milliardaires pédophiles sadiques vont jusqu’à lui livrer les reliquats de leurs orgies sanglantes. Au nom de la protection des espèces menacées, il semble que les naturalistes ferment les yeux sur ces pratiques. L’ONU s’est récemment penchée sur ce problème délicat et, dans un rapport, l’Eglise de scientologie a proposé  qu’une solution humanitaire soit prise, consistant à remplacer les supplices de la chaise électrique ou de la piqure létale par la consommation des criminels par la Drosera huizilopotcha.