Coup de foudre
Solitaire et glacé, je parcourais la plage, parce quaucune femme navait pu me donner damour. Jallais parmi les galets et les épaves, vers lOcéan, dans le dessin de my noyer. Mais les dieux menvoyèrent un signe. Au milieu des coquillages vides et des étoiles de mer desséchées, japerçus le portrait de la belle enfant. Je le porte désormais sur mon coeur. Et dans lassurance de la trouver, fort et heureux dêtre son élu, je la cherche de par le monde. |